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Expositions en cours et à venir
L'année 2025 sera riche en exposition. Suivez-moi !
![WIDOO DESIGN expose les oeuvre abstraites et semi-abstraites de l'artiste Hélène Lachapelle](https://static.wixstatic.com/media/549be8_f2169536a2cf4f12970c2547ad0274fd~mv2.jpg/v1/fill/w_274,h_274,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,enc_avif,quality_auto/WIDOO%20DESIGN.jpg)
Sur rendez-vous
Découvrez certaines de mes oeuvres chez Widoo Design, la spécialiste des cuisines sur mesure à Mont Tremblant
614-4 rue de St-Jovite, Mont-Tremblant , Canada
450.821.6873 info@widoodesign.ca
![Exposition de l'artiste Hélène Lachapelle - vernissage Territoire 25 à Lachute](https://static.wixstatic.com/media/549be8_98293dd741ba4b36bdcaf5251ed40e03~mv2.jpg/v1/fill/w_388,h_600,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,enc_avif,quality_auto/549be8_98293dd741ba4b36bdcaf5251ed40e03~mv2.jpg)
Expositions passées
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2024 : Aux portes de l'invisible - BlainvilleMon travail s’inscrit dans une quête de connexion entre le visible et l’invisible, le tangible et l’immatériel, l’intemporel et l’éphémère. Je cherche à tisser un pont entre le rêve et le réel… et un pont entre vous et moi au-delà du visuel pour toucher votre âme. Ainsi, mes œuvres d’art abstraites et semi-abstraites invitent au rêve et au dépassement à travers la découverte de mes univers. C’est avec joie que je vous les partage afin que vous puissiez à votre tour plonger dans votre propre imaginaire et peut-être nous reconnaître quelque part dans ce grand champ infini où la séparation n’existe pas. Ma démarche est simple : Je trouve l’immobilité, je fais le silence et je me tiens aux portes de l’invisible pour voyager dans des mondes intérieurs qui veulent s’incarner ici avec nous et amener une essence nouvelle … ou oubliée. Je peins dans le pas-à-pas du chemin inconnu que je marche et m’est révélé lorsque je parviens à taire le narratif dans ma tête pour m’abandonner au plus grand que moi. Je peins la densité des nœuds qui me tordent et se désenchevêtrent soudainement pour laisser jaillir la fluidité d’un mouvement nouveau-né. Je peins les tissus déchirés et les obélisques luminescentes qui balisent ma route. Je peins les oiseaux qui font la beauté du monde et nous parlent de liberté et d’unité. Je peins pour transcender ce qui occupe sans cesse notre esprit et révéler la dimension trop souvent cachée de notre nature profonde. Mark Twain disait que la plupart des gens meurent à 25 ans mais qu’on les enterre à 75, que nous ne mourons pas le jour où notre cœur cesse de battre mais plutôt le jour où nous cessons de rêver.
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2023 : Entre ciel et terre - Saint-EustacheJe peins dans le mouvement que m’inspirent le vent, l’eau, le papillon et particulièrement l’oiseau quand il s’envole, danse, se pose, traverse et dépasse les frontières, nous invitant à accueillir le ciel, à l’ancrer dans notre terre. Et ça pourrait bien être ce même mouvement, je dirais, qui vient se glisser en moi lorsque j’arrive à me mettre en mode « sans attente », à taire ma tête, à être dans la « loussitude »; ce mouvement qui me permet de toucher peu à peu ma joie d’être et de créer. Ces tableaux sont des petits pas vers ma spontanéité, mon identité réelle, ce que j’ai l’habitude d’appeler « ma part manquante » ; non pas que j’ai atteint la destination ou que j’ai trouvé la réponse ou la manière mais bien plutôt que j’apprécie le dialogue, le « ne pas savoir », le doute, l’imprévisible. J’apprécie chercher… et me laisser surprendre. Oui, j’ai la chance d’avoir un talent et aussi la chance du courage et la persévérance d’accepter encore et toujours d’apprendre les leçons jusqu’à ce qu’elles fassent partie de moi. Car si l’intuition existe, elle nous trouve au travail et c’est en renonçant au contrôle qu’on trouve la joie. « Il est un lieu dans nos corps Qui ne réfléchit plus Une Intelligence Qui n’a pas oublié le langage du Créateur Authentique parce que jaillissant de ton geste, de ton mot. » Le Seigneur de la Danse, Danis Bois
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2022 : Rêver - Saint-EustacheDéjà toute petite et deuxième d’une famille de huit enfants, j’aimais dessiner et, plus tard, me réfugiais volontiers dans mon monde intérieur. J’y trouvais là une sorte de tranquillité, de silence bienfaiteur. Mon amour de l’art et ma soif de créativité ont toujours beaucoup servi à me ressourcer et à grandir. Je comprends mieux aujourd’hui que je serai toujours en recherches de ce qui veut s’exprimer en moi. Comme l’a dit René Char : « L’impossible, nous ne l’atteignons pas mais il nous sert de lanterne .» Mes cours avec Francine Labelle et Jeannine Teebhoo et particulièrement mes années auprès de Caroline Archambault, artiste peintre de Saint-Sauveur, m’ont appris à peindre en me laissant aller dans mon imaginaire, en cherchant le mouvement, le geste libre et le mode sans attente, que j’aime appeler la « loussitude » qui m’a conduite de plus en plus à l’ouverture, à la disponibilité au plus grand que soi. Je marche dans l’inconnu sur le fil de mon imaginaire, souvent à l’aveugle, avec ma spontanéité et… mes peurs et blocages, bien sûr, en tentant de laisser parler l’invisible et l’unité. Pendant toutes ces années d’apprentissage, j’ai fait connaissance avec différentes techniques (dessin, huile, aquarelle, acrylique, encre, techniques mixtes) et ce qui m’appelle avant tout est de ne pas trop savoir à l’avance ce qui se manifestera, même si j’ai une idée, un sentiment, un dessin parfois même. J’aime dialoguer avec la toile et me laisser surprendre par celle qui m’habite et la réponse que me donnent les matières utilisées. Les images qui naissent de ces dialogues parlent souvent des éléments et de mondes organiques. Je joue avec les espaces, le plein et le vide, les contrastes de couleurs, de textures, la lumière et la transparence; enfin, ce qui mène à la présence de l’intention intime et insoupçonnée de l’artiste qui m’habite lorsqu’elle réussit à taire sa tête et laisser passer l’essence. Je poursuis sur cette route en souhaitant que mes tableaux dégagent une expression authentique, qu’ils projettent le spectateur dans un monde plus vaste, infini même, en laissant accès à son imaginaire ou sa présence. Je termine ainsi : « On souhaiterait volontiers à l’artiste, si grand soit-il, de ne jamais cesser au cours de sa carrière d‘être un amateur, si l’on donne à ce mot tout son sens : celui qui aime, celui qui ne se donne à son art, ni par ambition, ni par vanité, ni par cupidité, mais uniquement par amour, et qui, subordonnant toute sa personne à cette pure passion, fait vœu d’humilité, de patience et de courage. » Jacques Copeau , Appels p. 145-146
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2020 : Sur le fil de mon imaginaire - Saint-HippolyteTout d’abord un grand merci à la ville de Saint-Hippolyte, belle et naturelle, à M. Bruno Laroche, Maire, au Service de la culture, Mme Patricia Lopraino, sa directrice, à Gilles, ici de la bibliothèque, pour cette belle opportunité que vous me donnez d’exposer mes tableaux. Il s’agit d’une rétrospective de mon travail depuis les cinq dernières années où j’ai cherché avant tout le mouvement, le geste libre et le mode « sans attente », ce que j’appelle la « loussitude ». Ce terme est emprunté à une artiste avec qui j’ai beaucoup appris, Caroline Archambault, de St-Sauveur. Vous savez, comme le disait le peintre Soulage, « on peint d’abord par nécessité personnelle, intime, qui rend une vie possible». Et bien, voilà, j’avais grand besoin de cette loussitude. Ma joie c’est d’y arriver maintenant de plus en plus. Tous ces tableaux ont été des petits pas, en quelque sorte, vers ma spontanéité, mon identité; non pas que je sois ou que j’ai trouvé la réponse ou la manière mais bien plutôt que j’apprécie le dialogue, le « ne pas savoir », le doute, j’apprécie être dans l’imprévisible, chercher. Et ce soir j’ai la chance de voir comment vous recevez ces œuvres et comment elles vous ouvrent à de nouveaux horizons intérieurs.
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2019: Sur le fil de mon imaginaire - Bois-des-FilionCette exposition est une rétrospective de mes tableaux des dernières années, où j’ai peint en cherchant avant tout le mouvement, le geste libre et le mode sans attente. Cette forme de « loussitude » m’a conduite et me conduisent de plus en plus à l’ouverture, à la disponibilité au plus grand que moi. Je marche dans l’inconnu sur le fil de mon imaginaire telle une funambule, souvent à l’aveugle, avec ma spontanéité et … mes peurs, bien sûr. J’aime dialoguer avec la toile et me laisser surprendre par celle qui m’habite et la réponse des matières utilisées. Les images qui naissent de ces dialogues parlent souvent des éléments et de mondes organiques. Vous y verrez peut-être le silence et l’immobilité qui se trouvaient à l’origine sur la toile banche, puis le mouvement, tantôt petit, tantôt large et parfois déchaîné, qui s’y est installé amenant le chaos et puis le mystérieux, les espaces de plein et de vide, les contrastes de couleurs, de formes, de textures, les lumière et transparence, enfin ce qui mène à la présence de l’intention intime et insoupçonnée de l’artiste lorsqu’elle réussit à taire sa tête et à laisser passer l’essence. J’arrive maintenant à atteindre une expression authentique et plus facile et je vous remercie de me permettre de partager avec vous ma joie. Je souhaite que ces tableaux vous projettent dans un monde beaucoup plus vaste, infini même, en laissant le terrain libre à votre imaginaire.
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